Mes inséparables d’Abyssinie

(Agapornis taranta)

Texte de Philippe Sautelet

Le 5 février 2012, un dimanche matin, je me rends à la bourse d’oiseaux d’Hannut pour vendre des jeunes de mon élevage 2011, principalement des inséparables à face rose (agapornis roseicollis), quelques inséparables masqués (agapornis personatus) et des perruches catherines (bolborhyncus lineola). Après environ une heure sur place pour m’installer et renseigner les premiers acheteurs potentiels, je me décide à parcourir les différentes allées par simple curiosité. Je remarque très rapidement deux couples de tarantas. Mais, n’ayant encore rien vendu, je ne me précipite pas.

Je retourne auprès de mes oiseaux. Après trois ou quatre heures, je n’en ai vendu  que quelques-uns et je me dis qu’à cette cadence-là , je retournerai à la maison avec nombre d’entre eux. De plus, je parviens à récupérer non sans peine un de mes oiseaux qu’un acheteur avait laissé échapper. La poursuite a bien duré deux heures avec des pauses. Le hall était très haut et l’inséparable allait se poser sur les poutrelles inaccessibles pour finalement atterrir sur le système de chauffage et ne plus en bouger pendant un long moment. L’oiseau était fatigué de ses multiples vols sur plusieurs dizaines de mètres, exercice auquel il n’est pas du tout habitué vu qu’il était logé dans une volière d’appartement de L 90 x l 60 x h 150 cm. J’étais franchement étonné de sa résistance. Il se décide enfin à s’envoler une dernière fois mais avec beaucoup moins d’énergie qu’au début et il atterrit sur une table près d’un éleveur qui le rattrapa au moyen d’un filet. Je me dirige alors pour récupérer mon oiseau mais l’éleveur ne l’entend pas de cette oreille. J’ai dû lui donner mon numéro d’éleveur qu’il a pu vérifier sur la bague et un billet de 5 euros. Si cet éleveur peu scrupuleux ne l’avait pas capturé, je n’aurais pas aimé abandonner mon oiseau et le laisser mourir de faim même si j’ai appris plus tard que les organisateurs attendaient la nuit pour attraper tous les oiseaux fugitifs.
A partir de 11h, plusieurs particuliers se présentent et m’achètent plusieurs couples d’inséparables comme oiseaux de compagnie plutôt que pour la reproduction. Cela me fait donc de la place dans mes cages et je me dis alors qu’un couple d’inséparables d’Abyssinie viendrait bien compléter ma collection. Peu avant midi, proche de la fermeture, je retourne donc auprès du propriétaire des deux couples qui n’en avait vendu aucun et qui commençait à remballer tout son matériel. Je négocie le prix et obtiens gain de cause. Le propriétaire me demande lequel des deux je souhaite mais je n’avais pas de préférence car ils étaient tout aussi beaux l’un que l’autre. Je lui demande leur âge. Il me répond 4 à 5 ans. Je m’apprête à attraper un des deux couples dans la cage d’exposition mais le propriétaire insiste pour le faire lui-même. Content de mon acquisition, je ne prends pas la peine de vérifier les inscriptions sur les bagues. D’ailleurs, le vendeur s’est bien gardé de me les montrer. Et en rentrant à la maison, je découvre lors du transfert dans leur future cage d’élevage qu’ils sont de 2004. J’en retire comme leçon qu’il faut toujours garder la tête froide pour éviter les mauvaises surprises.
Les inséparables d’Abyssinie ont une espérance de vie entre 15 et 20 ans. Mon couple est donc déjà d’un âge respectable, 8 ans et je pense alors qu’il sera difficile d’en assurer la reproduction car j’avais en tête que la durée de vie d’un inséparable tournait plus autour de 12 ans. Je ne perds pourtant pas espoir et je les installe dans une cage d’élevage de L 80 x l 50 x h 60 cm de propre fabrication avec un nid horizontal tiroir de 50 x 20 x 20 cm. Cela me permet de le contrôler très rapidement sans trop déranger les oiseaux qui peuvent s’enfuir très facilement par le trou d’envol qui se trouve à l’autre extrémité du tiroir. Il suffit souvent de faire coulisser le nid de quelques centimètres pour vérifier la ponte des œufs ou l’éclosion et l’évolution des jeunes. Certaines cages sont équipées de nids de 30 cm de haut car certains couples se montrent plus sélectifs quant aux dimensions. Mes cages sont réalisées à partir de panneaux MDF de 18 mm d’épaisseur pour les parois et le nid, une façade grillagée de 60 x 40, et du parquet laminé pour le tiroir du fond. Les fientes s’y collent beaucoup moins que sur du simple bois qui s’imprègne progressivement de l’humidité des fientes ou de l’eau qui peut s’écouler de l’abreuvoir. Le nettoyage est alors beaucoup plus aisé. Sur le fond des tiroirs, je répartis de la brisure de bois qui a la propriété d’absorber rapidement les liquides. J’ai abandonné le fond de cage traditionnel qui a tendance à se solidifier et à former une sorte de ciment qui n’est pas facile à enlever.
Les deux parois latérales sont fermées. Par contre, je préfère installer un treillis sur une partie de la paroi arrière pour augmenter la luminosité dans la cage. Pour l’améliorer encore, je compte d’ailleurs peindre en blanc toutes les parois intérieures lors d’un prochain nettoyage complet. Les perchoirs sont des branches de noisetier de différentes sections et de 30 cm de long environ que je ne fixe que sur la paroi arrière au moyen de tire-fond de 6 x 60 mm et de rondelles d’un diamètre de 20 mm. Cela me laisse le choix de leur emplacement sans entraver l’ouverture des portes et la possibilité d’accrocher sur la face intérieure de la façade tout accessoire ou mangeoire que je jugerais utile. Cela évite aussi que les oiseaux ne souillent trop rapidement le grillage de façade. Je place quatre perchoirs, deux supérieurs les plus éloignés possible pour optimiser le besoin d’exercice de mes petits protégés, et deux inférieurs, un dans l’espace sous le nid et un vers le milieu de la cage.  Je les fore avec une mèche de 5 pour que le tire-fond soit bien fixé mais sans faire éclater le bois. Les branches sont séchées au préalable quelques mois pour augmenter leur dureté car les inséparables sont de bons rongeurs.


Les deux petites mangeoires fixées sur la façade, je les garde pour les compléments alimentaires comme les fruits et légumes ou la pâtée d’élevage. Je place leur aliment principal, soit un mélange spécial pour agapornis, dans une mangeoire horizontale d’environ 20 cm de long en plastique transparent. Cela permet de vérifier d’un rapide coup d’œil la quantité restante. Elles sont suspendues sur l’intérieur de la façade. Après quelques mois, les oiseaux s’habituent à cette intrusion et se familiarisent à votre présence et à vos interventions. Ils s’effrayeront d’autant moins lors des contrôles futurs du nid. Comme abreuvoirs, j’utilise ceux qui distribuent l’eau goutte à goutte. De cette manière, l’eau reste propre beaucoup plus longtemps et je ne dois les remplir et nettoyer qu’une fois par semaine. Faites seulement attention de bien les accrocher car plusieurs de mes couples se font un malin plaisir à grignoter la fixation plastique d’origine et de faire tomber ensuite l’abreuvoir qui résiste rarement à la chute au sol.
Comme mentionné plus haut, je travaille avec des nid horizontaux sur toute la largeur de la cage, soit sur 20 cm de haut, soit sur 30 cm pour les couples qui y montrent une préférence. L’endroit de couvaison est positionné sur le devant du tiroir et le trou d’envol de 5 cm environ de diamètre à l’arrière pour les raisons déjà évoquées. Il vaut mieux le placer le plus haut possible car autrement, les inséparables ressortent trop facilement les matériaux que j’ai mis à leur disposition dans le nid. J’y dépose de la tourbe humidifiée de 3 à 4 cm que je recouvre d’une couche de copeaux, style litière pour lapins. Récemment, j’ai ajouté dans le fonds de la cage des hautes herbes sèches. Certains couples en ont profité pour rendre leur nid plus confortable en se confectionnant un petit lit douillet. Pour avoir un bon pourcentage d’éclosion, il faut garder un degré d’humidité élevé. Pour ce faire, je vaporise de l’eau tous les deux jours environ lors du contrôle du nid et je commence ce traitement une semaine environ après le début de la couvaison. J’utilise un simple vaporisateur. J’ai déjà entendu d’autres éleveurs qui foraient un trou dans le bas du nichoir et qui ensuite y injectaient de l’eau au moyen d’une seringue. Ce système permet de ne pas déranger les oiseaux. Mes couples d’inséparables sont habitués à un contrôle régulier et ils retournent immédiatement au nid après ma courte visite. Certains sont tellement confiants que je dois insister pour les faire bouger.    

Avant de vous raconter la suite de l’histoire de mon couple d’inséparables d’Abyssinie, je vais vous décrire les caractéristiques de cette espèce.

L’inséparable d’Abyssinie
(Agapornis taranta)
(aussi appelé inséparable à ailes noires)

Découvert en 1814, cet inséparable n’apparaît en Europe qu’en 1906. Ce magnifique inséparable est le plus grand de tous les agapornis.

Description
Taille : 16,5 cm
Mâle : Le mâle adulte a un beau plumage vert vif, légèrement jaunâtre sur la poitrine, l’abdomen, les flancs et la région anale. Le front est rouge, de même que le cercle oculaire et le gros bec. Le dessous des ailes est brun noir. La queue, dont l’extrémité est noire, a des plumes latérales agrémentées de petites bandes jaunes. L’iris est marron et les pattes sont gris clair avec les ongles gris foncé.
Femelle : La femelle adulte revêt une couleur vert uniforme, y compris sur le front, le cercle oculaire et sous les ailes. 
Les jeunes sont d’un vert un peu plus terne et possèdent un bec jaune, teinté de noir à la base. Les jeunes mâles ont le dessous des ailes brun et voient leur front se colorer en rouge vers le quatrième mois. Pour certains, de légers reflets rouges sur le front et des petites plumes rouges sur le cercle oculaire apparaissent déjà alors qu’ils sont encore au nid.

Aire de répartition
L’inséparable d’Abyssinie vit dans les collines et les montagnes d’Abyssinie, d’Erythrée et d’Ethiopie. Il affectionne les bois touffus situés entre 1.300 et 3.200 mètres d’altitude. On le rencontre également dans des régions plus basses et dans les forêts de genévriers. En dehors de la saison de reproduction, ils vivent en petits groupes souvent de quelques dizaines d’individus.
Pendant la saison de reproduction, les couples s’isolent. Ils nichent dans les trous d’arbres, la femelle dépose au fond du nid une couche de brindilles et d’herbes séchées qu’elle transporte entre ses plumes comme beaucoup d’autres inséparables. En profitant parfois des trous abandonnés par les pics, il s’y retirent souvent pour dormir.

Alimentation
Ils se nourrissent essentiellement de graines, de fruits, de baies et de bourgeons, qu’ils prélèvent de préférence sur les arbres. Très friands de figues, ils peuvent se retrouver en colonies dans les sycomores (Ficus sycomorus) pour les déguster mi-mûres. En captivité, leur régime alimentaire de base se compose de graines sèches, de pâtée à l’œuf, de fruits et légumes (surtout des figues fraîches ou sèches)
Le mélange que j’utilise est un mélange spécial pour agapornidés qui ne contient pas de graines de tournesol car elles sont trop grasses et créent un certain embonpoint qui diminue leur capacité de reproduction. Par contre, en période de reproduction ou dans le cas d’oiseaux détenus à l’extérieur dans de grandes volières, on peut leur en donner en quantité modérée. Je leur offre aussi plusieurs fois par semaine de la nourriture fraîche composée de fruits et de légumes crus ou cuits (pommes, carottes, chicons, courgettes, poivrons, maïs mi-mûr ou cuit, riz cuit, etc…). En période de nourrissage, de la pâtée d’élevage doit être présente en permanence, ce qui signifie autant que les oiseaux veulent en manger.
On peut aussi agrémenter leur repas quotidien de graines germées et de verdures sauvages (mouron des oiseaux, pissenlit, etc…)
Et enfin, il ne faut surtout pas oublier l’incontournable os de seiche qu’ils déchiquèteront sans relâche.

Logement en captivité
Les inséparables d’Abyssinie sont des oiseaux calmes. Leur cri consiste en une séquence de notes hautes et aigües, émises par intermittence. Le niveau sonore est moindre que les autres espèces courantes d’inséparables. Ils apprécient être placés dans un endroit tranquille et peu bruyant. Il faut éviter les volières collectives, des bagarres de territoire pourraient être fatales. La petite volière individuelle par couple ou la cage d’élevage de 100 x 40 x 40 cm leur conviennent très bien. Ils peuvent rester l’hiver dehors à condition de leur procurer un abri ou d’y laisser le nid toute l’année.

Reproduction
Généralement, les inséparables d’Abyssinie se reproduisent à partir de 2 ans. Les femelles font une ou deux pontes à l’automne ou au printemps. Ce ne sont malheureusement pas des oiseaux prolifiques et ils restent difficiles à reproduire, car malgré les pontes et éclosions, peu de femelles élèvent leurs jeunes. La femelle pond de trois à six œufs à un intervalle de 2 à 3 jours. La femelle couve seule. Le mâle ne rentre au nid que pour nourrir sa femelle. La durée de couvaison est de 25 jours. Les jeunes naissent avec un duvet blanc. Le diamètre des bagues est de 4,5 mm. Les jeunes quittent le nid après 50 jours. Leur plumage ressemble à celui de la femelle. Quelques jeunes mâles peuvent déjà présenter du rouge sur le front et sur le cercle oculaire. Le dessous des ailes sera brun noir chez les mâles et vert chez les femelles.
Mutations
Le facteur foncé, le lutinos et le cinnamon ont déjà été mentionnés.

Maintenant que vous connaissez tout ou presque sur l’inséparable d’Abyssinie, je reprends donc l’histoire de mon couple d’agapornis taranta. Après trois petits ou longs mois, c’est selon, le 1er mai, je découvre avec joie qu’un premier œuf a été pondu. Un deuxième suivra le 4 mai, un troisième le 7 mai et le quatrième et dernier le 9 mai. J’essaie que les contrôles soient le plus rapides possible car la femelle s’effraie plus que pour mes autres couples d’inséparables (roseicollis,  personatus et fischeri). Je décide donc de la laisser couver tranquillement sans trop intervenir. Durant toute la préparation du nid, la femelle avait sorti une grande partie des matériaux que j’avais placés dans le nid et le degré d’humidité n’était donc pas idéal. Après une dizaine de jours, il me semble que les œufs ne sont pas fécondés car ils ne deviennent pas opaques même si ce n’est pas évident de le vérifier avec certitude dans la pénombre du nid. Quelques jours plus tard, j’augmente la fréquence des contrôles pour que la femelle s’y habitue. De jour en jour, son attitude se calme et elle retourne immédiatement au nid dès le contrôle terminé. Vers la fin du mois, comme aucun œuf n’a éclos, je les enlève et je découvre qu’un seul œuf a été fécondé et que l’embryon est mort.
Je ne perds pas courage. Je remets de la tourbe humidifiée et des copeaux en espérant un meilleur résultat cette fois-ci. Comme la fois précédente, elle en enlève une bonne partie. Entretemps, la femelle s’est nettement familiarisée aux deux contrôles journaliers, matin et soir. Et le 11 juin, bonheur, un premier œuf est pondu suivi d’un 2ème le 14 juin, un 3ème le 16 juin et un 4ème le 19 juin. La femelle les couve consciencieusement. Pour mettre un maximum de chances de mon côté, je rajoute de la tourbe humidifiée et des copeaux et je vaporise l’intérieur du nid régulièrement, tous les 1 à 2 jours, en prenant soin de ne pas mouiller directement les œufs. Je mets à leur disposition de la pâtée aux œufs à laquelle j’ajoute des compléments minéraux en poudre. La pomme est le seul aliment frais qu’ils acceptent à l’heure actuelle. Ils n’ont pas touché du tout à ce que je leur ai proposé d’autre. Mais bon, avec les oiseaux âgés de quelques années qui n’ont pas été habitués à certains aliments, il faut être patient et insister avant qu’ils ne se décident à les accepter.
Le 9 juillet lors du contrôle du soir, j’ouvre le nid-tiroir. Un frisson me parcourt tout le corps. Deux jeunes sont nés ! Un 3ème suivra le 12 juillet. Mes efforts ont payé même s’il ne faut pas crier victoire trop vite. Les petits se développent lentement mais sûrement. Leur jabot est toujours bien rempli. Je remarque alors une différence sensible avec les autres espèces courantes d’inséparables. La croissance des petits est beaucoup plus lente. Ce n’est que le 23 juillet, soit 14 jours plus tard, que je ne pourrai baguer en 4,5 mm les deux premiers qui ont à peine les yeux ouverts. Le 3ème sera bagué le 28 juillet. Dans le cas des inséparables à face rose ou des inséparables masqués, il faut veiller à les baguer vers le 10ème jour car le risque est grand que la bague ne puisse plus être glissée sur la patte si on attend plus longtemps. Il faut de toute façon être vigilant car de nombreux facteurs influencent la croissance des jeunes, l’expérience du couple, le nombre de jeunes, la température et le degré d’humidité, l’alimentation, etc…
Depuis lors, tout se passe à merveille. Mon couple s’occupe parfaitement de leur progéniture. Lors d’un contrôle tardif, vers 20h, je les ai même retrouvés tous les cinq collés les uns aux autres dans un coin du nid. Je les ai contemplés quelques secondes avant de renfoncer le tiroir. Ils n’ont même pas bronché. Au bout d’une quarantaine de jours, maintenant qu’ils sont bien plumés, je suis curieux de connaître leur sexe. Et là, petite déception, je suis en présence de trois mâles car des petites plumes rouges apparaissent déjà sur leur cercle oculaire et le dessous des ailes est brun noir.
Nous sommes maintenant le 1er septembre, soit environ 50 jours plus tard après la naissance. J’ai déjà vu le plus âgé des trois jeunes en dehors du nid mais il y retourne très vite pour tenir compagnie aux deux autres. Comme je ne souhaite pas que la femelle recommence un nouveau cycle afin qu’elle se repose, je décide alors de forcer les jeunes à quitter le nid, ce qu’ils font facilement tout en étant affolés du changement. Ensuite, je bloque l’accès au nid en retournant simplement le tiroir.
Et malgré le besoin connu de calme et de tranquillité des inséparables d’Abyssinie, mon couple a donc assuré l’élevage de trois beaux jeunes en présence de nombreux autres inséparables et amazones installés dans la même pièce qui sont loin d’être des champions du silence…  
En conclusion, si vous voulez partager ma passion pour les inséparables en général ou si vous vendez des inséparables d’Abyssinie, n’hésitez pas à me contacter car j’aimerais constituer d’autres couples. Je compte aussi me lancer dans l’élevage de trois autres espèces d’inséparables, l’inséparable à joues noires (agapornis nigrigenis), l’inséparable de Lilian (agapornis lilianae) et l’inséparable à ailes grises ou de Madagascar (agapornis canus).
philippe.sautelet@gmail.com

La grande famille des inséparables

Nom scientifiqueNom vernaculaireNom usuel
Agapornis roseicollisInséparable à face rose/rose gorgeRoseicollis
Agapornis personatusInséparable masquéPersonata
Agapornis fischeri Inséparable de FischerFischeri
Agapornis nigrigenisInséparable à joues noiresNigrigenis
Agapornis lilianaeInséparable de LilianLiliana
Agapornis taranta Inséparable d’Abyssinie/à ailes noiresTaranta
Agapornis canus Inséparable à tête grise/de MadagascarCana
Agapornis pullariusInséparable à tête rougePullaria
Agapornis swindernaniusInséparable à collier noirSwindernania

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *